A l’heure où la concurrence est toujours plus féroce dans le secteur de l’entreprise et du commerce, un paramètre revient inlassablement : protéger son idée ou concept. Si de multiples solutions existent pour faire de cette étape une vraie formalité, il est important de ne pas tomber dans les pièges classiques du domaine pour ne pas voir son idée reprise ou copiée dans un futur plus ou moins proche. Focus sur les méthodes qui fonctionnent en 2019 dans l’Hexagone pour breveter un concept.
Brevet ou certificat d’utilité ?
Avant de se lancer dans l’aventure d’une création officielle, une priorité s’impose : définir la durée de vie de son concept. En effet, si la durée de vie est plutôt courte, un brevet ne sera pas idéal. En revanche, un certificat d’utilité serait plus adapté. Si les critères d’obtention sont identiques au brevet, la durée de vie n’est pas aussi longue pour le brevet. 6 ans pour le certificat d’utilité contre 10 ans en faveur du brevet. Une fois ce choix effectué, vous pouvez vous envisager la rédaction de ce brevet ou de certificat. Et cette étape n’est pas une mince affaire…
Conseils et stratégie
Rédiger un brevet est technique et complexe. En dépit de la bonne volonté initiale, un savoir-faire est exigé pour obtenir la délivrance du brevet officiel. C’est la raison pour laquelle, tous les experts de la question conseillent aux futurs inventeurs de prendre conseil auprès de professionnels de la question. Outre les conseils en stratégie dispensés par ces entreprises spécialisées, l’aide à la rédaction est un vrai avantage qui fait la différence. Pour trouver le prestataire le plus adapté, on ne saurait que trop vous conseiller de vérifier les certifications plutôt que de s’attarder sur la grille des prix. En d’autres termes, privilégier les références au détriment d’une prise en charge à prix discount. Avec ces conseils en tête, vous savez désormais que breveter un concept est possible et légal…
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